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Le Canada s’est retrouvé entraîné dans une série de dilemmes périlleux en matière de politique étrangère qui l’ont obligé à lutter pour équilibrer ses valeurs, ses intérêts et son identité. En particulier, le Canada se retrouve désormais en désaccord avec l’Inde et la Chine – les deux nations les plus peuplées et les puissances montantes de ce siècle. Au cours de la dernière année seulement, le Canada a accusé la Chine de s’ingérer dans sa politique intérieure et a critiqué l’armée chinoise pour avoir survolé dangereusement la mer de Chine méridionale ses avions. L’une des nouvelles menaces – la possibilité d’un assassinat extraterritorial par des agents du gouvernement indien au Canada – est revenue sur le devant de la scène la semaine dernière lorsque le FT a révélé que les États-Unis avaient averti l’Inde d’un complot déjoué visant à tuer un séparatiste sikh sur le sol américain qu’ils croyaient. Il y avait une possible implication du gouvernement indien. Jonathan Berkshire Miller, expert de l’Indo-Pacifique au groupe de réflexion de l’Institut Macdonald-Laurier à Ottawa, affirme que les gouvernements successifs ont eu tendance à traiter la politique étrangère comme un «…
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Un pays comme le Canada devrait-il s’appuyer sur des alliés, comme les États-Unis, pour le soutenir dans les impasses en matière de politique étrangère, ou est-il important de maintenir une position indépendante ?
@ISIDEWITH6 mois6MO
La réaction du Canada face à l’ingérence présumée de la Chine dans ses affaires intérieures reflète-t-elle son engagement envers la démocratie, ou pourrait-elle être considérée comme un excès ?